Femmes, musiques et livres sacrés
Comment décrire ce que nous avons vécu au Climont le week-end du 12 & 13 octobre dans le cadre du Festival Sacrées Journées? Une maison, qui se remplit avec des histoires de femmes, venues d’horizons divers. Avec des délicieuses odeurs venant de la cuisine et des plats surprenants et généreux apportés pour être partagés. Avec de la musique et des échanges jusqu’à tard le soir.





L’ouverture le dimanche matin à trois voix, avec Lilia Bensedrine, la directrice du festival Sacrées Journées et voix musulmane, Isabelle Marx, directrice artistique de Courant d’Art et voix juive et Alexandra Breukink, chargée de mission d’ABC-Climont, pasteure et voix chrétienne, nous fait échanger sur la situation des femmes dans les trois religions monothéistes et partager ressources, colères et espoirs.
Beat Föllmi, nous fait ensuite découvrir Kassia, cette abbesse byzantine, qui au 9ième siècle osait lire et mettre en musique les Ecritures à sa manière.
L’après-midi, Isabelle Marx nous fait chanter et danser sur le rythme des Nigunim et Noufissa Kabbou et Rita Stirn, nous font découvrir les chants des femmes du Maroc.








L’après-midi se clôture par l’atelier autour de l’œuvre créé par Saida Kasmi pour rendre hommage à toutes les femmes issues de l’immigration.
C’est Nhât Nam Lê qui nous accueille au Temple du Climont pour ouvrir la soirée en tissant nos différentes musiques pour sauver le monde. Nous assistons ensuite à un magnifique concert, qui n’en n’est pas vraiment un, car chacune et chacun y est invité à participer. Nous quittons le Temple en dansant. Nos chants se mélangent dans le noir, expression de notre désir profond de paix, shalom, salam, d’un peu de fraternité et sororité…










Bravo et merci quelle belle action
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