Situé sur les anciennes frontières de la France et de l’Allemagne, le Climont a été un lieu de refuge pour les mennonites venus de Suisse.
Ci-dessous vous trouvez un portrait de leur histoire et de leur engagement jusqu’à aujourd’hui. Cette vidéo de Jean-Yves Fischbach a été présentée lors de l’émission de « Présence protestante » du dimanche 17 octobre 2021 sur France 2 et porte le titre « Les mennonites, la paix en héritage ».
Un des invités de la vidéo est Claude Baecher que nous avons pu rencontrer récemment. Il nous a parlé de son rêve de transformer en musée la ferme mennonite l’Abbateux dans la clairière du Hang, montrée dans la vidéo.
Ce rêve fait écho au projet « Lieux de Mémoire Mennonite » que des collègues historiens de Chris Doude van Troostwijk sont en train de développer à l’Université Libre d’Amsterdam et l’Université d’Hambourg.
Il vous faudra peut-être créer un compte vimeo (c’est gratuit), si vous n’en avez pas encore.
Avec Greenfaith, ABC-Climont invite au jeûne interconvictionnel pour le climat les dimanche 17 et lundi 18 octobre 2021.
Deux semaines avant la COP26 envoyons un message clair : il est plus qu’urgent d’agir! Sur le site jeûnepourleclimat vous trouverez des portraits de jeûneurs. Ils sont en train de jeûner seuls à deux ou en groupe!
Quelle(s) conviction(s) vous ont engagé(e) à participer à ce jeûne pour le climat ?
J’ai vécu la campagne du jeûne dès son lancement, à la COP19, à Varsovie en 2013, où je suivais les négociations au sein de la délégation de la Fédération Luthérienne Mondiale. On avait décidé de jeûner en solidarité avec Yeb Saño – alors le chef négociateur des Philippines -, qui s’est volontairement privé de nourriture pendant les deux semaines de la COP, en solidarité avec ses sœurs et frères de son pays touchés par le typhon Haiyan. Ce typhon exceptionnel, le plus puissant ayant jamais touché terre, avait frappé les Philippines et la ville natale de Yeb, Tacloban, juste avant l’ouverture de la conférence onusienne. Dix mille personnes étaient mortes sous les vents de plus de 300 km/h. L’horreur. Son frère avait passé des jours à ramasser des corps. Les changements climatiques, pour les personnes exposées et vulnérables, c’est cela. Pas un sujet de dispute sur des plateaux TV. De la tôle et des morts. Le lundi 18 octobre prochain, je jeûnerai à nouveau. Parce que sans une rehausse de l’ambition et de l’action concrète à tous les niveaux, sans ce que certains appellent de la “radicalité” – qui est simplement une action à l’échelle de l’enjeu -, nous sommes sur une trajectoire de réchauffement qui produira de nouveaux Tacloban.
Comment voulez-vous donner forme à votre jeûne pour le climat ?
Je me passerai de nourriture toute la journée, mais boirai de l’eau – en tisanes ou thé. Pas de café, ni de jus de fruits. C’est difficile pour moi, ça me coûte vraiment. Bon, une journée, c’est supportable. Je me suis engagé aussi plusieurs fois pour trois jours de jeûne pour le climat. Là, c’est autre chose. Le troisième jour, il faut de la force, une vraie volonté. Surtout quand, autour, les gens mangent. Et que ce qui te sépare de ce pain, sur la table, c’est ta seule décision en liberté. J’ai perdu du poids, on en perd vite. Quand je dis que le jeûne signifie ma détermination, je ne me paye pas de mots.
Parler du climat signifie parler de toutes les grandes questions qui secouent notre humanité. Quel thème vous tient particulièrement à cœur et pourquoi ? Par exemple : climat et migration, climat et biodiversité, climat et paix, climat et justice sociale, etc.
Je dirais climat et désir ! Bon, là, je prends le contre-pied volontairement. J’ai été assez sombre jusque là, parce qu’il faut le courage de la lucidité. Et pourtant. Le projet de conversion écologique de nos sociétés, qui embrasse plus large que le climat, rime aussi avec envie. On se lance dans un formidable moment d’auto-institution de notre imaginaire partagé : le récit du bonheur matérialiste se meurt, quelle est la narration du souhaitable que nous allons écrire et qui va nous guider ? Quel est le sens de notre agir personnel et collectif ? Que voulons-nous, que désirons-nous, qu’est-ce qui nous manque ? N’y a-t-il pas du bonheur sous les pavés de la réduction du temps de travail ? De la joie dans la culture des liens, plutôt que la quête du plus-avoir ? De la santé derrière des produits moins traités ? De la profondeur d’être, avec un retour de la contemplation ? Des emplois grâce à des transitions vers de nouveaux modes de production et de vies ? L’écologie rimera avec envie, du désir-de-gâteau-au-chocolat, ou elle ne sera pas.
Quelle question ou interpellation souhaitez-vous adresser à nos dirigeants politiques lors de la COP26?
Ma demande va en fait à un dirigeant et des acteurs économiques : le PDG de TotalÉnergies, Patrick Pouyanné, et les actionnaires de cette multinationale. Le lundi 18, avec GreenFaith et des partenaires, nous tiendrons un jeûne interreligieux devant la Tour Coupole de Total à la Défense, à Paris. Car l’entreprise porte le projet de nouveau champ pétrolier “Tilenga”, en Ouganda, avec plus de 400 nouveaux puits dont 132 dans une réserve naturelle, un projet accompagné de celui d’un oléoduc chauffé géant de 1500 km, nommé “EACOP” reliant la côte tanzanienne, pour l’export. Ces projets, menés à terme, ce sont 34 millions de tonnes de carbone dans l’atmosphère par an. Avec les presque 4000 signataires de la pétition que nous avons lancée, nous en demandons l’abandon. Total s’est récemment renommé “TotalÉnergies” – quelle belle occasion de mériter son nouveau nom.
Quelle(s) conviction(s) vous ont engagé(e) à participer à ce jeûne pour le climat ?
Sensible aux questions agricoles et environnementales depuis plusieurs années, je constate malheureusement que le fossé se creuse de plus en plus entre 2 visions de la production agricole dans les pays du Nord, d’un côté j’observe une agriculture qui s’interroge pour remettre en questions ses pratiques et son impact sur l’environnement, limiter l’utilisation d’énergies fossiles et se passer d’intrants chimiques, respecter les équilibres naturels, les écosystèmes et le vivant pour nourrir localement, en bio et de manière accessible son prochain ; d’un autre une agriculture qui cherche à produire toujours plus, quitte à détruire des paysages, déplacer des populations, faire fi de la réglementation, se dédouaner à grands coups de “greenwashing” et à précariser l’autonomie alimentaire des pays du Sud en déréglant les marchés mondiaux. Cette dichotomie grandissante est notamment le fruit de politiques agricoles publiques et d’accords commerciaux internationaux (Politique Agricole Commune européenne, TAFTA, CETA…) qui ont bien souvent négligé la voix des paysan.ne.s et des citoyen.ne.s qui considèrent qu’un autre modèle agricole est possible. Une mobilisation comme le Jeûne pour le climat pourra je l’espère éveiller les consciences d’autres personnes et faire en sorte que ce message soit davantage entendu et pris en compte.
Comment voulez-vous donner forme à votre jeûne pour le climat ?
Passionné de montagne et de grands espaces, je pense profiter de cette journée de jeûne pour me balader, me ressourcer et méditer dans les montagnes alsaciennes. A chaque randonnée sur les sentiers de mon enfance, je prends conscience de la responsabilité de tout un chacun dans la préservation de ce patrimoine commun. Même au plus de chez nous, le dérèglement climatique a des conséquences lourdes qui impacteront durablement nos vies et celles des générations futures. Jeûner en marchant sera sans doute l’occasion pour moi d’être pleinement en conscience et à l’écoute de ce que la Nature ressent en ces temps de bouleversements climatiques.
Parler du climat signifie parler de toutes les grandes questions qui secouent notre humanité. Quel thème vous tient particulièrement à cœur et pourquoi ? Par exemple : climat et migration, climat et biodiversité, climat et paix, climat et justice sociale, etc.
Aujourd’hui salarié agricole et en projet d’installation en élevage bio, j’ai travaillé cet été en estive dans les Hautes-Alpes. Ce territoire accueille de nombreux migrants parfois déplacés aussi pour des raisons climatiques. On l’oublie trop souvent, la période de changement climatique que nous traversons ne modifie pas seulement les équilibres naturels mais oblige aussi des populations à se déplacer. Tout un réseau citoyen se mobilise aujourd’hui pour les accueillir et les accompagner dans cet exode climatique en toute bienveillance, avec malheureusement très peu de soutien des pouvoirs publics.
Quelle question ou interpellation souhaitez-vous adresser à nos dirigeants politiques lors de la COP26?
Même si de nombreux scientifiques s’accordent aujourd’hui à dire qu’il est peut-être trop tard pour faire marche arrière, j’attends de nos dirigeants de soutenir davantage des actions citoyennes en “circuit court”, c’est-à-dire le plus localement possible. Je suis convaincu que ce sont ces actions locales et imaginées par le peuple qui pourront mobiliser le plus grand nombre et laisser place à une forme d’intelligence collective bien plus efficace et fédératrice que de belles promesses faites dans les hautes sphères des décideurs politiques.
Avec Greenfaith, ABC-Climont invite au jeûne pour le climat qui se tiendra les dimanche 17 et lundi 18 octobre 2021. Si vous souhaitez participer, inscrivez-vous sur le site jeunepourleclimat pour rendre vos actions visibles et permettre à d’autres de se joindre à votre action locale !
Deux semaines avant la COP26 envoyons un message clair : il est plus qu’urgent d’agir!
Avec Greenfaith, ABC-Climont invite au jeûne pour le climat qui se tiendra les dimanche 17 et lundi 18 octobre 2021. Si vous souhaitez participer, inscrivez-vous sur le site jeunepourleclimat pour rendre vos actions visibles et permettre à d’autres de se joindre à votre action locale !
Deux semaines avant la COP26 envoyons un message clair : il est plus qu’urgent d’agir!
Quelle(s) conviction(s) vous ont engagé(e) à participer à ce jeûne pour le climat ?
Je n’ai encore jamais manifesté de ma vie, mais je me retrouve dans la pratique du jeûne pour protester. Tout d’abord parce qu’elle permet de se recentrer sur l’essentiel. Croyant, je jeûne souvent à l’approche de Pâques pour faire une rupture une fois dans l’année, où chaque jour j’ai eu assez à manger. Le jeûne me donne un esprit plus clair et vif et me permet de faire la part des choses dont j’ai réellement besoin. Mettre cet outil au service de la protestation climatique me semble vital. Le besoin de sobriété, de retour à l’essentiel et de réflexion autour de la Création me semble aujourd’hui plus que nécessaire. Que ce soit pour nos églises ou le monde en général.
2. Comment voulez-vous donner forme à votre jeûne pour le climat ?
Je participe et soutiens les deux projets de jeûnes lancés dans la vallée de Munster. Celui avec notre groupe de jeunes lors de notre week-end de rencontre à la Schildmatt. Le dimanche de notre sortie avec Campus, nous proposons un jeûne pour prendre le temps d’ouvrir nos yeux: Au milieu de la Vallée de Munster la nature commence à porter les signes du changement climatique : nos forêts meurent avec des épicéas desséchés, attaqués par les scolytes. Ensuite nous nous retrouvons avec l’ensemble des acteurs des paroisses pour deux jours d’action, de rencontre et de discussion.
3. Parler du climat signifie parler de toutes les grandes questions qui secouent notre humanité. Quel thème vous tient particulièrement à cœur et pourquoi ? Par exemple : climat et migration, climat et biodiversité, climat et paix, climat et justice sociale, etc.
La chute de la biodiversité m’inquiète au plus haut point. Que nos forêts, nos prairies se vident de leurs occupants, de leurs vies me rend triste face à l’avenir. Inspiré par la philosophie du Respect de la Vie d’Albert Schweitzer, je vois en chaque arbre, chaque animal un frère et une sœur doué de vie. Cette philosophie m’accompagne au quotidien dans mon travail et mon engagement. J’essaie au quotidien à travers le jardin d’Eden, un jardin partagé, de sensibiliser les jeunes au travail de la terre dans le respect de celle-ci. J’essaie de montrer que nous pouvons manger, habiter sur cette terre sans lui faire du mal, elle qui nous nourrit chaque jour.
4. Quelle question ou interpellation souhaitez-vous adresser à nos dirigeants politiques lors de la COP26?
Qu’ils sont des habitants comme nous, des habitants de cette terre. Qu’ils sont en partie responsables du pêché écologique en train de se dérouler de plus en plus visiblement devant nos yeux. Je les invite à chercher le pardon, source de remise en question et d’action de grâce envers la Création.
ABC-Climont s’écoute sur radio RCF-Alsace dans Polychrome, le magazine interreligieux des confessions présentes en Alsace. Chaque quatrième mercredi du mois l’émission Polychrome est préparée par ABC-Climont, ce laboratoire du croire en construction dans une ancienne colonie de vacances au Climont en face d’un petit temple réformé. Un projet de rencontre qui invite des personnes de tout horizon à cultiver l’art de bien croire, un croire qui veut faire du bien.
Notre première invitée, Gaëlle HUBERT, une jeune Autrice et Scénographe, était artiste en résidence au Climont cet été. Tout d’abord avec la compagnie VILLATHEATRE pour un laboratoire autour du thème de la peur et de la dérision. Ensuite toute seule pour travailler à l’écriture de sa pièce de théâtre « Nos ruines« .
« Nos Ruines » sera mise en scène par Gaëlle Hubert avec le soutien de l’Artus, Théâtre universitaire de Strasbourg.
Dessin de Gaëlle Hubert
Luna monologue ( Extrait de « Nos ruines« )
Ça fait maintenant 5 mois qu’on les a enterré, tous les trois. On les a pas enterrés, pas nous, mais voilà, vous voyez, enfin 5 mois qu’ils sont morts, quoi. J’ai pas pleuré Tom et sa brune, mais Gin, ça oui je l’ai pleuré. Et pourtant je pleure pas souvent, on dit que j’ai le cœur dur et qu’importe, mais bon là. Il était à peine majeur. Ça fait mal au cœur, forcément. Un ado, on croit toujours que c’est immortel. Là, le plafond leur est tombé dessus. Je sais pas comment ils ont fait leur compte, Tom et sa brune, pour que ça leur tombe sur la gueule comme ça. C’était l’heure du dîner, les voisins les entendaient se disputer mais bon comme d’habitude, quoi. Et puis là boum un bruit énorme comme un tonnerre mais ici même les orages ça cogne pas aussi fort, ça leur est tombé dessus et ça les a assommés, ça leur a brisé le cou.
Ça fait bizarre, hein, ça c’est sûr. Les trois d’un coup. On imagine pas qu’un plafond ça peut vous tomber dessus, surtout pendant le dîner, je sais pas ce qu’ils avaient fichu avec mais en tout cas ça fait un choc, et puis un ado surtout. Un bel ado comme on en voit pas beaucoup et comme on aimerait en avoir.
Dessin de Gaëlle Hubert
Matin brumeux ( Extrait de « Nos ruines« )
Gin fantôme : Il y avait de ces matins, après des nuits torrentielles, quand la pluie s’était calmée, où la brume s’élevait par-dessus les arbres. Elle naissait dans les vallées, surgissait d’entre les montages, formait des masses vaporeuses dans le paysage immobile. Elle posait un voile sur la forêt opaque et estompait l’horizon. Elle montait jusqu’à notre immeuble, atteignait presque nos fenêtres mal isolées avant de disparaître dans la façade. Enfin, elle se laissait porter jusqu’à d’autres vallées, jusqu’à des contrées lointaines qu’on ne pouvait imaginer. Ces matins-là, des halos de lumière perçaient les nuages. Et c’était beau. C’était d’un calme et d’une douceur. On en oubliait presque que la veille, encore, on maudissait cet endroit.
Avec Greenfaith, ABC-Climont invite au jeûne pour le climat qui se tiendra les dimanche 17 et lundi 18 octobre 2021. Si vous souhaitez participer, inscrivez-vous sur le site jeunepourleclimat pour rendre vos actions visibles et permettre à d’autres de se joindre à votre action locale !
Deux semaines avant la COP26 envoyons un message clair : il est plus qu’urgent d’agir!
Quelle(s) conviction(s) vous ont engagé(e) à participer à ce jeûne pour le climat ?
Depuis des décennies, les scientifiques du GIEC nous alertent sur les risques climatiques et malheureusement, malgré tous les colloques et sommets, les Etats semblent incapables d’y apporter des réponses rapides et durables. Presque chaque année est plus chaude que la précédente, avec son lot de feux, d’inondations et de malheurs. Les pays pauvres, les moins émetteurs de GES, sont les plus durement touchés tandis que les pays riches continuent à produire, à consommer et à gaspiller, pesant de plus en plus sur les ressources comme en témoigne par exemple le Jour du Dépassement 2021, calculé au 29 juillet pour le monde et au 7 mai pour la France ! Notre maison brûle et nous regardons ailleurs, disait Chirac en 2002 : que s’est-il passé depuis ?
Le jeûne pour le climat invite ceux qui portent la conviction de l’urgence climatique à entrer dans le débat, à expérimenter la réduction de leur empreinte carbone et à témoigner de cet art de bien croire qui sous-tend leur engagement.
Comment voulez-vous donner forme à votre jeûne pour le climat ?
Jeûner c’est boire de l’eau, c’est tout. Le jeûne apaise et rend sensible, il nous interpelle sur la nécessaire frugalité et nous rappelle qu’un quart de l’humanité reste aujourd’hui en précarité alimentaire, une situation que les dérèglements climatiques vont accentuer. Le jeûne permet aussi un regard bienveillant vers le monde animal dont des milliards d’êtres sont sacrifiés chaque année dans des conditions terribles et dont la biodiversité s’effondre.
Parler du climat signifie parler de toutes les grandes questions qui secouent notre humanité. Quel thème vous tient particulièrement à cœur et pourquoi ? Par exemple : climat et migration, climat et biodiversité, climat et paix, climat et justice sociale, etc.
Je suis maire d’une petite commune et travaille avec des collègues à la construction d’éco-territoires pour tenter de sensibiliser nos concitoyens et de diminuer nos empreintes carbone. Toutes les thématiques sont liées, l’économie compatible avec l’écologie, l’accompagnement des personnes en précarité, la sortie des énergies fossiles et fissiles, le renforcement de la biodiversité, la décarbonation de l’alimentation, l’écotourisme, les mobilités douces, etc. Nos communes sont particulièrement attentives au dépérissement des forêts, à la fragilité de la ressource en eau, elles ont voulu aussi s’engager par solidarité dans une coopération décentralisée (avec Gescod *) en faveur de quelques petites communes malgaches pour lesquelles les impacts climatiques sont terribles.
* Grand Est Solidarités et Coopérations pour le Développement
Quelle question ou interpellation souhaitez-vous adresser à nos dirigeants politiques lors de la COP26?
Je mesure la difficulté pour les gouvernements à mettre en œuvre ensemble des actions fortes, des ruptures, mais l’urgence dicte ces mesures car notre trajectoire est bien au-delà des 2°C, cible déjà très/trop élevée. Les renoncements d’aujourd’hui génèrent les déluges de demain. Je crois en l’action citoyenne, puissent les Chefs d’Etat entendre la voix des pauvres, des démunis, des victimes climatiques et économiques et de toutes celles et ceux qui œuvrent pour un monde plus généreux, plus frugal et plus fraternel.
Conférence au Temple Neuf à Strasbourg mercredi 6 octobre 2021 à 18h
Rencontre avec Daniel Marguerat le jeudi 7 octobre 2021 au Climont
Aujourd’hui comme hier, la personnalité de Jésus de Nazareth fascine croyants et non-croyants.
Daniel Marguerat partagera avec nous ce qui l’a motivé à écrire son livre « Vie et destin de Jésus de Nazareth ».
Pourquoi l’écrire aujourd’hui ?
Que sait-on de nouveau sur Jésus ?
Revenir au Jésus de l’histoire est un appel, une chance, une tâche.
Programme de la journéedu 7 octobre
Accueil à partir de 9h30
10h Conférence et questions : Comment ses commencements, – un enfant sans père, la rencontre avec son mentor spirituel -, ont-ils influencé sa vie et ses convictions ?
12h : repas
14h : Travail en petits groupes : De quelle manière la sagesse et l’action de ce poète du Royaume nous parlent-elles aujourd’hui encore ?
15h15 : pause
15h30 : Conférence et questions : L’homme de Nazareth est le bien commun non seulement du christianisme, mais aussi du judaïsme et de l’islam. Comment ces autres religions l’ont-t-elles compris ?
16h30 : Clôture
Balade pour ceux qui le souhaitent
Inscription pour la journée du 7 octobre 2021
Promontoire, 6 route des Crêtes, 67220 Climont – prix de la journée 30€ à payer sur place – pass sanitaire demandé – inscription au 06 35 35 77 52 ou en ligne:
Les jongleurs de la compagnie VILLATHEATRE ont été en résidence au Climont du lundi 14 au samedi 19 juin 2021. Ils avaient invité Ludivine Petit, metteur en scène, et Emmanuelle Bischoff, scénographe, ainsi qu’Alice Chapotat, Alexandre Fruh, Gaëlle Hubert, Pauline Jacquet, Anna Lamsfuss, Lucie Mao et Nicolas Verguin, des jeunes artistes scénographes issus des Arts Déco de Strasbourg pour un laboratoire autour du thème de la peur et de la dérision.
Fil conducteur: La pièce de théâtre « La mort de Tintagiles » de Maurice Maeterlinck.
Le samedi 19 juin la résidence s’est terminée avec un temps de restitution et partage avec le public :
ACTE I – Au sommet d’une colline qui domine le château. « Ils m’ont laissé tout seul, petite sœur.. »
ACTE II – Un appartement dans le château: « Où est Tintagiles? »
« Il crie! … Il crie!… Tintagiles! Tintagiles! »
Quatre jours de laboratoire sur la peur et la dérision : échanges et retours
VILLATHEATRE revient pour une résidence au Climont en janvier 2022 avec un projet d’éducation artistique et culturelle dans les établissements scolaires.
Ce samedi 19 juin 2021 à 16h au Temple du Climont, les artistes présenteront leur travail sur le thème de la peur et de la dérision . Cette restitution sera suivie d’un temps d’échange avec le public. Entrée libre – plateau
« J’entends… Il y en a une foule… »
La Mort de Tintagiles, Maurice Maeterlinck, Acte III
Les jongleurs de la compagnie VILLATHEATRE sont en résidence au Climont du lundi 14 au samedi 19 juin 2021. Ils ont invité Ludivine Petit, metteur en scène, et Emmanuelle Bischoff, scénographe, ainsi qu’Alice Chapotat, Alexandre Fruh, Gaëlle Hubert, Pauline Jacquet, Anna Lamsfuss, Lucie Mao et Nicolas Verguin, des jeunes artistes issus des Arts Déco de Strasbourg pour un laboratoire autour du thème de la peur et de la dérision.
« Conscient du caractère révolutionnaire de l’œuvre de Maeterlink, Meyerhold avait compris qu’il devait bousculer les schémas de la représentation. Il avait, avec d’autres, analysé que, pour que le théâtre évolue, il fallait réfléchir sur le jeu de l’acteur et en modifier les données. »
Les jongleurs de la compagnie VILLATHEATRE sont en résidence au Climont du lundi 14 au samedi 19 juin 2021. Ils ont invité Ludivine Petit, metteur en scène, et Emmanuelle Bischoff, scénographe, ainsi qu’Alice Chapotat, Alexandre Fruh, Gaëlle Hubert, Pauline Jacquet, Anna Lamsfuss, Lucie Mao et Nicolas Verguin, des jeunes artistes issus des Arts Déco de Strasbourg pour un laboratoire autour du thème de la peur et de la dérision.
Le samedi 19 juin 2021 à 16h au Temple du Climont, les artistes présenteront leur travail. Cette restitution sera suivie d’un temps d’échange avec le public. Entrée libre – plateau
Pour suivre les prochaines traces inscrivez-vous à notre newsletter: